Lors de la définition du standard d’un plan de marquage, il peut être intéressant de réfléchir à la concision du dataLayer afin d’éviter les variables redondantes. Cela permet notamment de gagner du temps lors de la rédaction d’un plan de marquage, mais aussi lors de son intégration et de son recettage (efficience). Sans oublier le gain en fiabilité et cohérence si des variables sont mutualisées.
Grâce notamment aux outils de Tag Management ou aux fonctionnalités de traitement des hits de certains outils de Web Analytics, une même variable du dataLayer peut servir pour enregistrer l’information dans d’autres variables. Cela est possible autant pour des dimensions que des métriques. Ainsi, pour chaque variable que l’on créé, la question suivante peut être posée : Combien de dimensions ou métriques peut-on obtenir à partir de cette seule variable ? Cela est surtout vrai pour les plans de marquage e-commerce.
Par exemple, si on prend l’exemple d’une variable enregistrant le nombre de places achetées pour un billet d’avion, on sait donc mesurer la quantité de billets vendus.
Si on considère que l’achat de billet d’avions est une conversion (vente), on peut donc aussi connaitre le nombre de conversions avec le nombre de hits où cette variable est remplie. On peut également connaitre le nombre de visites et visiteurs ayant fait une conversion (déduplication au niveau Visite et Visiteurs).
Et il est également possible d’enregistrer l’information dans un but de segmentation du trafic en fonction du nombre de billets achetés, on parle donc de dimensions (et plus de métriques). Cela permet par exemple de savoir si les personnes qui achètent des billets en solo ont la même appétence que ceux qui achètent des billets en couple ou famille (plus de 2 billets achetés dans la même vente) ?